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Abréviations utilisées sur ce site:

Ag: symbole chimique international de l'argent métal
AgC: argent Colloïdal
AgCNP: argent colloïdal Nano Particulaire
AgCNP+ : argent colloïdal nano particulaire ionisé ( donc
présent à l'état d'ions non combinés dans le milieu aqueux
nM: nanomètre ( millionième de mètre, millième de micron )
ppm: part par million ( donc 1 milligrame/litre )

La liste intégrale des documents, francophones et anglophones que nous

avons pu trouver attestant de la véracité

de nos assertions.  Cliquez ici

Utilisation des nano particules d’argent. ( argent colloidal )- et argent ionique Ag+ nanoparticulaire


Conclusions temporaires ( MAJ 27 /11/2020 )
Toxicité :
Nombre, si pas la plupart, des médicaments sont des toxiques et sont généralement administrés à
100 à 1000 fois sous la dose léthale.
Il ya peut être plus d’études sur la toxicité que sur l’efficacité en usage interne. On dirait vraiment que
les scientifiques « officiels » ont peur de publier ou de faire des études cliniques.
Néanmoins : des doses de 300 mg/Kg de poids sur les souris n’ont pas l’air de les affecter beaucoup,
or, les doses conseillées pour l’usage humain sont de l’ordre de quelques cuillerées dosées 10 à 40
ppm pendant 2 à 6 semaines ( donc 10 à 40 mg/litre ) . Les quelques cas d’argyrismes dûs à l’usage
de l’AgC rapportés font allusion à des doses largement supérieures pendant des mois, voire des
années. Les autres sont relatifs à des maladies professionnelles.
Il est certain néanmoins que les nano particules d’argent restent un médicament, pas un complément
alimentaire.
Production :
La voie électrochimique reste la seule à portée du particulier ou même du pharmacien d’officine.
Electrodes plates, plutôt que fil, à cause de la faible conductivité de l’eau pure
Eau ultrapure, distillée ET désionisée, une eau pour fer à repasser ou batterie étant probablement
insuffisante. Une conductivité de l’ordre de 20 Mohm/cm/ cm² devant être un minimum
L’argent colloidal, ses caractéristiques :
Le liquide doit être incolore ou argenté, en aucun cas jaunâtre, donc produit à partir d’élecrodes en
argent ultrapur : 99,9 % au moins. ( l’argent « couverts » ou bijouterie étant au maximum de 92 %)
Concentration : l’optimum se situerait entre 15 et 40 ppm. , soit de l’ordre de 15 à 40 mg/litre.
Finesse des grains : c’est là que se situe ( 9/11/2020 ) la question.
Si pour une action anti bactérienne, des dimensions de particules se situerait dans l’ordre de
grandeur de 1 à 20 nM, l’action antivirale nécessiterait des tailles de particules de l’ordre de 0,1
à 1 nM ( donc, < 1 Angström ! )
Le seul appareil pouvant confirmer cette qualité étant le microscope électronique à transmission.
Il apparaîtrait que l’électrolyse BT DC, d’une part, nécessiterait un temps très élevé ( dû à la faiblesse
du courant capable de traverser l’eau ultrapure ), certains parlent d’une granulométrie nettement plus
fine sous 170 V AC, ce qui ne pose pas de problème particulier.
Réflexion d’électronicien : on veillera à introduire dans le circuit une résistance tampon de sécurité, de
l’ordre de 500 ohms/volt pour limiter le courant et éviter la croissance de la taille des grains. Un demi
watt sera suffisant. L’usage d’un fusible entre le transfo ( ou le redresseur ) est fortement recommandé.
Plusieurs auteurs recommandent l’inversion des pôles toutes les 0,1 à 2 minutes ( et moi aussi ) pour
éviter la migration des ions vers la cathode
Je suis, quant à moi, partisan de plonger l’électrolyseur dans un puissant champ magnétique pour
créer une agitation par effet magnéto-hydro-dynamique et lancer ainsi les ions Ag+ dans la solution,
plutôt que vers la cathode. Ce champ peut être facilement et économiquement obtenu en récupérant
des aimants de magnétron de four à µondes ou de haut parleurs.
A ce jour ( 9/11/2020 ) le problème de la production de grains de taille < 1 nM pour obtenir une
certitude élevée d’efficacité antivirale reste entier, d’autant plus que l’établissement d’une certitude en
la matière nécessite l’accès à un microscope électronique, généralement indisponible dans les
cuisines des ménages…..
Une rapide analyse des lois de l’électrolyse ( en fait de la galvanoplastie ) révèlera que la quantité de
métal injecté dans la solution peut être aisément calculée par l’utilisation de la loi de Faraday et de la
loi d’ohm, de même que le temps nécessaire.
Essais cliniques, mode d’administration
C’est ici que les romains s’empoignent….
Les études in vitro universitaires ne manquent pas, et sont sans appel : les bactéries détestent les
AgNpc ! Et encore plus à l’état ionique. Leur mécanisme d’action semble être de mieux en mieux
connu.
Seuls quelques témoignages isolés et propositions sont disponibles, tous ou presque sujets à caution,
étant donnés qu’il ne sont généralement accessible que via des sites internet de vendeurs d’AgC….
( en fait les témoignages sont nombreux, mais il est permis de douter de leur valeur scientifique, soit
par manque d’autorité des auteurs, soit par la taille de l’échantillon, soit par qualité du diagnostic de
base, etc… ) Le fait que nombre de ces témoignages soient liés à des sites vendeurs invite à la
prudence, mais finalement, peut-on davantage se fier aux avis liés à l’industrie ou même à certaines
agences gouvernementales ?
Il apparaît néanmoins :
Que de nombreux test universitaires in vitro démontrent l’action bactéricide à large spectre, ainsi que
l’action viricide des nano particules d’AgC ou Ag+ ( à particules < 1nM pour ce dernier usage )
Quelques études montrent des résultats sur certaines cellules cancéreuses et les parasites ( dont le
paludisme )
Que l’utilisation des AgNpc pourrait avoir des effets bénéfiques contre les souches de bactéries
insensibles aux antibiotiques
Que les AgNpc, pourraient à grand bénéfices être utilisées en bains de bouches ( je songe aux
aphtes et rages de dent ), gargarisme, gouttes nasales, et inhalations ( bronchites chroniques,
tuberculose, SRAS2-Covid 19 ), ce qui limiterait l’ingestion dans l’organisme, tant redoutée ( à tort)
dans les études toxicologiques.
Il semblerait néanmoins que l’or colloïdal ait été employé avec succès par le passé en nébulisation
contre la tuberculose
Les bénéfices de l’utilisation des sels d’argent dans la protection des brûlures contre les agents
pathogènes font de nombreux adeptes, y compris dans les milieux officiels. Leur capacité pour aider la
cicatrisation semble également avérée.
Cloture au 9/11/2020
La minute complotiste :
Si on peut constater que personne ne publie d’étude clinique favorable in vitro sur des patients
humains ou même sur des vertébrés supérieurs, personne non plus ne publie d’étude négative ( alors
que personne ne s’en est privé à propos de hydroxychloroquine sur SRAS-2 Covid 19 ) . Alors quoi ?
Personne n’ose ? Les doses à employer sont nettement inférieures ( 10 à 100 X) à la dose
« gênante » et quand on voit que certains praticiens vous renvoient chez vous prendre du
paracétamol….
Alors : les chercheurs « savent » que ça ne sert à rien ?
Dangers :
Il est patent que l’absence d’études in vivo sur l’efficacité ( des études ont été menées sur le rat et la
souris, décevantes pour les détracteurs de l’AgC ) est liée à l’interdiction de l’utiliser. Que ce soit en
positif ou en négatif « on ne peut pas », donc on ne peut pas mener une étude négative non plus
puisque c’est interdit…. D’autres législations empêchent probablement les essais vétérinaires .
Les dangers de l’utilisation de l’AgC en usage internes sont assez évidents :
- Interdit en usage officiel, nombre de commerçants se lancent dans ce commerce, souvent
avec une argumentation scientifiquement soutenue, mais le pire côtoie le meilleur : qui est
vraiment en mesure de garantir sa concentration et surtout sa granulométrie ?
- La possibilité pour tout un chacun de produire « son » AgNP, voire son Ag+ NP renforce cet
effet. Alors oui, qui peut garantir l’efficacité et la qualité de son générateur ? Le doute est
permis dès que l’on consulte certains brevets et qu’on les confronte à la théorie
électrochimique….
- En l’absence d’études cliniques, quel médecin va oser l’ordonner, sous quelle posologie ?
- La tentation de l’utiliser en mode préventif continu, qui peut effectivement mener à l’argyrisme
- La tentation de se passer d’un diagnostic précoce et précis d’un médecin. Je serais tenté de
dire : « Apparemment, l’Ag+ et les AgNP sont efficaces, mais peuvent éventuellement se
superposer à une ordonnance classique. Voyez votre médecin ou votre dentiste ! Il est mieux
équipé que vous pour savoir si vous êtes en détresse grave ou pas ».
Les dangers de l’utiliser aux doses conseillées par différents auteurs ( genre 6 ou 7 cuiller à café /jour
pendant 2 à 6 semaines), même superposés à un traitement officiel sont par contre quasi nuls.
Les avantages :
- prix de revient extrêmement bas
- large spectre antibactérien, antifongique et – si la qualité y est – antiviral
- large choix de mode d’administration, à choisir en fonction de la localisation de l’affection
- usage topique quasiment incontesté
- action contre les bactéries résistant aux antibiotiques sans danger de les rendre immunes
- peuvent être produit à bon compte même dans les contrées les plus reculées, dans les
conditions les plus défavorables ( guerre, catastrophes naturelles)
- pourrait être utilisé à titre préventif pour les intervenants en zone de conflits, catastrophes
naturelles, épidémies. Avant, pendant et deux ou trois semaines après le retour.
Cloture au 27/11/2020

 

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